Pendant une fraction de seconde, je me suis demandé s’il se moquait de moi, mais non ! Mea culpa : j’avoue que si je n’ai pas expliqué ce terme au cours, c’est parce que jamais je n’aurais imaginé qu’un jeune de son âge et de son niveau d’instruction puisse en ignorer la signification.Ma récente double casquette de professeur et de journaliste s’avère décidément bien utile pour mieux appréhender la réalité des savoirs ! Elle renforce aussi ma conviction qu’un journalisme qui aurait à cœur d’expliquer sans simplisme ce qu’est l’Holocauste, un minaret, un génocide, ou quelle est la différence entre musulman et islamiste, contribuerait à lutter contre une dualisation et une désaffection médiatiques de plus en plus palpables.Clairement à contre-courant d’une tendance médiatique dominante, qui braque les projecteurs sur la violence, célèbre le people et la frivolité, opte quasi systématiquement pour la mise en scène et la surenchère, le journalisme d’éducation permanente se veut au contraire de qualité sans être élitiste.C’est donc une philosophie du métier, un état d’esprit, une démarche politique qui favorise et renforce la démocratie, en fournissant aux citoyens les informations et explications nécessaires pour remplir adéquatement leur rôle et participer pleinement à la vie de la cité.
Le Maire de ma commune m’a incitée à me rendre aux urnes -je lui réponds
→NOISY-LE-SEC, le 27 mars 2014
Monsieur le Maire,
J’accuse réception de votre lettre m’incitant à me rendre aux urnes Dimanche prochain.
Comme vous le dites dans votre lettre, l’élection municipale n’est pas une élection comme les autres : quand on vote pour un maire, c’est un acte de confiance envers la personne, plutôt qu’envers le parti qu’elle représente., et je dois dire qu’en ce qui vous concerne je n’ai rien à vous reprocher personnellement.
Cependant, le climat politique dans son ensemble, est devenu une mafia à laquelle je ne veux pas participer, je ne me sens en confiance avec aucune formation, et je suis très triste de voir la FRANCE sombrer de jour en jour dans le chômage, la perte des valeurs que nous avions connues autrefois : le respect de chacun la conscience professionnelle, la défense de notre langue, la culture dans son ensemble, le respect des lois, par les gouvernants et les gouvernés, chose qui n’existe plus à l’heure actuelle où tout le monde triche, fraude, vole sans en être inquiété.
La dernière fois que j’ai voté c’était pour refuser la communauté européenne qui nous a finalement été imposée !! (bien que nous soyons dans un pays dit démocratique)
A quoi sert donc cette EUROPE sinon à rendre les populations de tous les pays plus miséreuse pour que le grand Capital fructifie davantage.
Quelle honte de constater qu’un travailleur n’arrive pas à boucler le mois avec le minable salaire qu’on lui attribue, et qui le jette dans la désespérance.
Dans notre pays, nous ne savons plus enseigner, nos enfants sortent de l’école sans savoir ni lire ni écrire.
Je viens de passer trois semaines à l’HOPITAL où je n’ai fait que constater les insuffisances du personnel médical.
Je sais bien Monsieur le MAIRE que tout ceci ne vous concerne pas personnellement, et ne concerne pas NOISY-LE-SEC particulièrement, mais qui donc est en mesure de remettre les pendules à l’heure sinon ceux qui s’occupent de politique ou du moins qui devraient s’en occuper, car rien n’est fait pour redresser la barre, et élever le débat.
Ce qui manque à notre Pays, ce sont des politiciens responsables capables de gouverner la France avec le désir de la voir progresser, afin qu’elle occupe à nouveau une place de choix dans le paysage mondial , mais ceux qui sont au pouvoir, à présent n’ont qu’une ambition : la leur ….. Pas celle de notre Pays.
Pour finir, je suis convaincue que vous serez le grand gagnant de cette élection, du moins je l’espère.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
NICOLE OLIVER
savoirs – AVERSES D’informations = DESINFORMATION totale – Confusion dans tous les domaines
Pendant une fraction de seconde, je me suis demandé s’il se moquait de moi, mais non ! Mea culpa : j’avoue que si je n’ai pas expliqué ce terme au cours, c’est parce que jamais je n’aurais imaginé qu’un jeune de son âge et de son niveau d’instruction puisse en ignorer la signification.Ma récente double casquette de professeur et de journaliste s’avère décidément bien utile pour mieux appréhender la réalité des savoirs ! Elle renforce aussi ma conviction qu’un journalisme qui aurait à cœur d’expliquer sans simplisme ce qu’est l’Holocauste, un minaret, un génocide, ou quelle est la différence entre musulman et islamiste, contribuerait à lutter contre une dualisation et une désaffection médiatiques de plus en plus palpables.Clairement à contre-courant d’une tendance médiatique dominante, qui braque les projecteurs sur la violence, célèbre le people et la frivolité, opte quasi systématiquement pour la mise en scène et la surenchère, le journalisme d’éducation permanente se veut au contraire de qualité sans être élitiste.C’est donc une philosophie du métier, un état d’esprit, une démarche politique qui favorise et renforce la démocratie, en fournissant aux citoyens les informations et explications nécessaires pour remplir adéquatement leur rôle et participer pleinement à la vie de la cité.
LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE
1
Le pouvoir a déjà changé de mains
Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d’institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Or ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l’impact de leurs décisions sur la vie des populations. Le pouvoir de ces organisations s’exerce sur une dimension planétaire, alors que le pouvoir des états est limité à une dimension nationale. Par ailleurs, le poids des sociétés multinationales dans les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des états. A dimension transnationale, plus riches que les états, mais aussi principales sources de financement des partis politiques de toutes tendances et dans la plupart des pays, ces organisations sont de fait au dessus des lois et du pouvoir politique, au dessus de la démocratie. |
![]() |
Voici une liste des chiffres d’affaires de certaines multinationales, comparés avec le PIB des états. Elle en dit long sur la puissance planétaire que ces sociétés sont en train d’acquérir. Une puissance toujours plus démesurée, du fait de l’accélération des fusions entre multinationales. Chiffres d’affaires ou PIB, en milliards de dollars
Chiffres 1999, sauf les chiffres en italique qui datent de 1992 |
2
L’illusion démocratique
La démocratie a déjà cessé d’être une réalité. Les responsables des organisations qui exerçent le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n’est pas informé de leurs décisions. La marge d’action des états est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n’ont été ni consultés, ni informés. Tous ces traités élaborés ces cinq dernières années (GATT, OMC, AMI, NTM, NAFTA) visent un but unique: le transfert du pouvoir des états vers des organisations non-élues, au moyen d’un processus appelé « mondialisation ». |
![]() |
Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n’ont plus de pouvoir réel. Et c’est bien parce qu’il n’y a plus rien à décider que les programmes politiques de « droite » et de « gauche » en sont venus à tant se ressembler dans tous les pays occidentaux. Pour résumer, nous n’avons pas le choix du plat mais nous avons le choix de la sauce. Le plat s’appelle « nouvel esclavage », avec sauce de droite pimentée ou sauce de gauche aigre-douce. |
3
La disparition de l’information
![]() |
Depuis le début des années 90, l’information a progressivement disparu des médias destinés au grand-public.
Comme les élections, les journaux télévisés continuent d’exister, mais ils ont été vidés de leur contenu.
Un journal télévisé contient au maximum 2 à 3 minutes d’information véritable. Le reste est constitué de sujets « magazine », de reportages anecdotiques, de faits divers, de micro-trottoirs et de reality-shows sur la vie quotidienne.
Les analyses par des journalistes spécialisés, ainsi que les émissions d’information ont été presque totalement éliminés.
L’information se réduit désormais à la presse écrite, lue par une minorité de personnes.
La disparition de l’information est le signe tangible que notre régime politique a déjà changé de nature.
4
Stratégies et objectifs pour le contrôle du monde
Les responsables du pouvoir économique sont quasiment tous issus du même monde, des mêmes milieux sociaux. Il se connaissent, se rencontrent, partagent les mêmes vues et les mêmes intérêts. Ils partagent donc tout naturellement la même vision de ce que devrait être le monde idéal futur. Il est dès lors naturel qu’ils s’accordent sur une stratégie et synchronisent leurs actions respectives vers des objectifs communs, en induisant des situations économiques favorables à la réalisation de leurs objectifs, à savoir:
|
5
Les attributs du pouvoir
Les organisations multinationales privées se dotent progressivement de tous les attributs de la puissance des états: réseaux de communication, satellites (2), services de renseignements, fichiers sur les individus (3), institutions judiciaires (établies par l’OMC et l’AMI, accord grâce auquel une multinationale pourra traîner un état devant une cours de justice internationale spéciale).
A terme, les armées sont appelées à devenir des entreprises privées, des prestataires de services travaillant sous contrat avec les états, aussi bien qu’avec n’importe quel client privé capable de payer leurs services. Mais à l’étape ultime du plan, ces armées privées serviront les intérêts des grandes multinationales, et attaqueront les états qui ne se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique. En attendant, ce rôle est assumé par l’armée des Etats-Unis, le pays le mieux contrôlé par les multinationales. Notes:
|
6
La vraie réalité de l’argent
L’argent est aujourd’hui essentiellement virtuel. Il a pour réalité une suite de 0 et de 1 dans les ordinateurs des banques. La majeure partie du commerce mondial a lieu sans monnaie-papier, et seulement 10% des transactions financières quotidiennes correspondent à des échanges économiques dans le « monde réel ». Les marchés financiers eux-mêmes constituent un système de création d’argent virtuel, de profit non-basé sur une création de richesses réelles. Grâce au jeu des marchés financiers (qui permet de transformer en bénéfices les oscillations des cours), les investisseurs avisés peuvent être déclarés plus riches, par une simple circulation d’électrons dans des ordinateurs. Cette création d’argent sans création de richesses économiques correspondantes est la définition même de la création artificielle de monnaie. Ce que la loi interdit aux faux-monnayeurs, et ce que l’orthodoxie économique libérale interdit aux états, est donc possible et légal pour un nombre restreint de bénéficiaires. Si l’on veut comprendre ce qu’est réellement l’argent et ce à quoi il sert, il suffit d’inverser le vieil adage « le temps c’est de l’argent ». L’argent, c’est du temps. L’argent est ce qui permet d’acheter le temps des autres, le temps qui a été nécéssaire à produire les produits ou les services que l’on consomme. |
|
|||
![]() |
|
Dans la pratique, ce rapport de force est toujours défavorable au consommateur-salarié. Lorsqu’un individu moyen achète un produit, il paye le temps qui a été nécéssaire pour fabriquer ce produit à un prix bien plus élevé que le salaire qui lui est payé pour une fraction équivalente de son propre temps. Par exemple, chez les grands constructeurs automobiles, une voiture est produite en une journée de travail (soit en 8 heures) par 20 salariés (y compris le travail des commerciaux et le travail inclus dans les fournitures et les équipements de production utilisés). Le salaire journalier de chaque salarié devrait donc être égal à 1/20è du prix de la voiture, soit 1000 euros si la voiture vaut 20.000 euros. Ce qui fait un salaire mensuel théorique de 22.000 euros (sur la base de 22 jours travaillés par mois). Pour la plupart des salariés, on est très loin du compte. Lorsqu’un salarié occidental donne 10 heures de son temps, il reçoit seulement l’équivalent d’une heure. Pour un salarié du Tiers Monde, le rapport tombe à 1000 heures contre une. Ce système est la version moderne de l’esclavage. Les bénéficiaires du temps volé aux salariés sont les entreprises et leurs dirigeants (dont le salaire est plus de 100 fois celui d’un employé ordinaire), mais aussi les états dès lors que l’argent prélevé par les impots et les taxes n’est pas utilisé dans le sens de l’intérêt général. |
|
7
Le point de non-retour écologique va être franchi
Un système économique libéral, dont le but est la recherche du profit à court-terme pour des intérêts particuliers, ne peut prendre en compte les coûts à long-terme tels que la dégradation de l’environnement. Les modèles économiques actuels sont également inaptes à estimer à sa juste valeur la « production » de la nature, indispensable à notre survie: production d’oxygène, fixation du gaz carbonique par les forêts et les océans, régulation de la température, protection contre les rayonnements solaires, recyclage chimique, répartition des pluies, production d’eau potable, production d’aliments, etc. Si nos modèles économiques intégraient le coût réel de la destruction de la nature, de la pollution, des modifications climatiques, cela changerait radicalement notre estimation de ce qui est « rentable » et de ce qui ne l’est pas.
|
8
La destruction de la nature est voulue
La disparition de la nature est inévitable, car elle est voulue par le nouveau pouvoir économique. Pourquoi? Pour 3 raisons: 1- La disparition de la nature et l’augmentation de la pollution vont rendre les individus encore plus dépendants du système économique pour leur survie, et vont permettre de générer de nouveaux profits (avec notamment une consommation accrue de médicaments et de prestations médicales…). 2- Par ailleurs, la nature constitue une référence d’un autre ordre, celui de l’univers. La contemplation de la beauté et de la perfection de cet ordre est subversive: elle amène l’individu à rejeter la laideur des environnements urbanisés, et à douter de l’ordre social qui doit demeurer la seule référence. 3 – Enfin, la contemplation de la nature incite au rêve et intensifie la vie intérieure des individus, développant leur sensibilité propre, et donc leur libre-arbitre. Tout ce qui peut amener les individus à penser et à vivre par eux-mêmes est potentiellement subversif. Le plus grand danger pour l’ordre social est la spiritualité car elle amène l’individu à bouleverser son système de valeurs et donc son comportement, au détriment des valeurs et comportements précédemment implantés par le conditionnement social. Pour la stabilité du « nouvel ordre social », tout ce qui peut stimuler l’éveil spirituel doit être éliminé. |
9
Les alternatives de la dernière chance
Pour ne pas être définitivement exclus du jeu, les contre-pouvoirs au pouvoir économique (syndicats, associations de consommateurs, mouvements écologistes) doivent répondre en se plaçant sur le même niveau d’organisation, au niveau mondial et non plus national, en unifiant et en synchronisant leurs actions, à l’échelle de groupes d’états pesant un poids suffisant dans les flux économiques mondiaux. Il leur reste peu de temps pour réagir, car tous les moyens de contrôle nécessaires à une future dictature mondiale sont désormais en place. |
![]() |
10
2000 ans d’histoire
Durant ces deux derniers millénaires, la civilisation sera passée par quatre ères successives marquant quatre formes de pouvoir politique: 1 – L’ère des tribus Pouvoir exercé selon la force (et plus rarement selon la sagesse ou la connaissance). 2 – L’ère des empires et des royaumes Pouvoir héréditaire. Naissance de la notion d’état. 3 – L’ère des états-nations Ere ouverte par la monarchie parlementaire en Grande-Bretagne en 1689, par la révolution française en 1789, et par la fondation des Etats-Unis. Dans un état-nation, le pouvoir n’est plus héréditaire mais exercé par des dirigeants censés représenter le peuple, et désignés par des élections (état-nation démocratique), ou par un système de cooptation au sein d’un parti unique (état-nation totalitaire). 4 – L’ère des conglomérats économiques Ere initiée à partir de 1954, mise en place au cours des années 70 et 80, et pleinement opérationnelle à partir des années 90. Le pouvoir n’y est plus de type représentatif ou électif, et il n’est plus localisé géographiquement (contrairement aux tribus, aux royaumes, et aux états-nations). Il est exercé directement par ceux qui contrôlent le système financier et la production des marchandises. Les instruments de ce pouvoir sont le contrôle de la technologie, de l’énergie, de la monnaie, et de l’information. Comme tout nouveau pouvoir, il s’érige en remplacement du pouvoir précédent, voué à disparaître. Enfin, ce nouveau pouvoir est global, planétaire. Il n’a donc ni alternative, ni échappatoire. Il constitue un nouveau niveau d’organisation de la civilisation, une sorte de super-organisme. La résolution des grands problèmes écologiques économiques et sociaux nécessite effectivement l’avènement d’une forme de pouvoir global. De même, l’unification du monde par l’économie et le déclin des états-nations ont été décidés en partie pour une noble cause: rendre impossible une nouvelle guerre mondiale qui, à l’ère atomique, signifierait la fin de la civilisation. Mais la question est de savoir au service de quels objectifs et de quels intérêts ce pouvoir global doit-il être, par qui doit-il être exercé, et par quels contre-pouvoirs doit-il être contrôlé et équilibré. La mondialisation (ou « globalisation ») n’est pas négative en elle-même. Potentiellement, elle peut permettre l’établissement d’une paix mondiale durable et une meilleure gestion des ressources. Mais si elle continue d’être organisée au bénéfice d’une élite et si elle conserve son orientation néo-libérale actuelle, elle ne tardera pas à engendrer un nouveau type de totalitarisme, la marchandisation intégrale des êtres vivants, la destruction totale de la nature, et des formes inédites d’esclavage. Sylvain Timsit |
![]() |
REFLEXIONS SUR LA NOTION DE POUVOIR
Quelques citations à méditer…
« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. » Franklin D. Roosevelt « Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité. » Nicholas Murray Butler
« Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau. » Benjamin Disraeli
« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » David Rockefeller
« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. » David Rockefeller
« Aujourd’hui, l’Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l’ordre. Demain ils en seront reconnaissants! Ceci est particulièrement vrai s’il leur était dit qu’un danger extérieur, qu’il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C’est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L’unique chose que tous les hommes craignent est l’inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial. » Henry Kissinger
« Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement. » Paul Warburg
« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »
David Rockefeller
« Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d’une quelconque menace de l’extérieur, mais d’avantage à cause des forces incidieuses qui y opèrent de l’intérieur. »
Général Douglas MacArthur
« La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions. »
John Fitzgerald Kennedy
« Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (…) Est-ce que j’entends par là qu’il s’agit d’une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. »
Lawrence Patton McDonald
« Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique. »
Marshall McLuhan
« Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était. »
Winston Churchill
« L’ennemi numéro 1 de tout État est l’homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l’État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S’il ne l’est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l’État. »
Henry Louis Mencken
« Après 1981, je demandais à François Mitterrand :
- Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ? Il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque Mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi qu’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J’ai vécu l’expérience directement durant quatorze ans. En France, on élit, et les élus font des lois qu’ils n’ont jamais proposées et dont nous n’avons jamais voulu. La France est-elle une démocratie ? Une puissance mondiale ? Je le dis en tant que Française: cela ne veut rien dire. »
Danièle Mitterrand |
![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() |
![]() |
Quelques chiffres à méditer…
Rapport ONU – PNUD 1998 – disponible chez Economica, 49, rue Héricart, 75015 Paris Autres chiffres:
|
![]() |
THEMES ASSOCIES
|
|
![]() |
Quand l’information véritable est remplacée par les sujets anecdotiques, les micro-trottoirs, et les reportages insignifiants sur la vie quotidienne… |
|
|
![]() |
Les stratégies et les techniques des « Maitres du Monde » pour la manipulation de l’opinion publique et de la société. |
|
|
![]() |
Ce document Top Secret se définit comme un « manuel de programmation » de la société. Il expose en détail les stratégies des « Maitres du Monde » et révèle des clés essentielles pour comprendre les véritables règles du jeu qui sous-tendent la transformation radicale et accélérée de la société et de l’économie mondiale.
|
|
![]() |
Un démontage en règle des mensonges les plus fréquemment utilisés par la propagande néo-libérale et sa « pensée unique ». |
|
|
![]() |
Les pièges d’une constitution anti-démocratique et anti-sociale, dont le but est de rendre irréversible l’orientation ultra-libérale de l’Europe. |
|
|
![]() |
Les causes de la révolution de 1789 sont à nouveau réunies: injustices criantes et accaparement du pouvoir par une caste de privilégiés. |
|
|
![]() |
Le point sur l’état de la planète, avec l’inventaire des dégats causés par l’homme à l’environnement, et les premiers signes des réactions de l’écosystème. |
|
|
![]() |
Quelques livres sur la mondialisation, la démocratie, les nouveaux pouvoirs planétaires… |
|
|
![]() |
L’actualité au sujet du nouvel ordre économique, de la démocratie, et des stratégies de contrôle de la société. |
![]() |
VICTOR HUGO
L’homme et la femme
par Victor Hugo
Victor Hugo, le grand humaniste initié, écrivait, au sujet de l’homme et de la femme :
« L’homme est la plus élevée des créatures ; la femme est le plus sublime des idéaux.
Dieu a fait pour l’homme un trône ; pour la femme un autel. Le trône exalte ; l’autel sanctifie.
L’homme est le cerveau, la femme le coeur. Le cerveau fabrique la lumière ; le coeur produit l’Amour. La lumière féconde ; l’Amour ressuscite.
L’homme est fort par la raison ; la femme est invincible par les larmes. La raison convainc ; les larmes émeuvent.
L’homme est capable de tous les héroïsmes ; la femme de tous les martyres.
L’héroïsme ennoblit ; le martyre sublime.
L’homme a la suprématie ; la femme la préférence. La suprématie signifie la force ; la préférence représente le droit.
L’homme est un génie, la femme un ange. Le génie est incommensurable ; l’ange indéfinissable.
L’aspiration de l’homme, c’est la suprême gloire ; l’aspiration de la femme, c’est l’extrême vertu. La gloire fait tout ce qui est grand ; la vertu fait tout ce qui est divin.
L’homme est un Code ; la femme un Evangile. Le Code corrige ; l’Evangile parfait.
L’homme pense ; la femme songe. Penser, c’est avoir dans le crâne une larve ; songer, c’est avoir sur le front une auréole.
L’homme est un océan ; la femme est un lac. L’Océan a la perle qui orne ; le lac, la poésie qui éclaire.
L’homme est un aigle qui vole ; la femme est le rossignol qui chante. Voler, c’est dominer l’espace ; chanter, c’est conquérir l’Ame.
L’homme est un Temple ; la femme est le Sanctuaire. Devant le Temple nous nous découvrons ; devant le Sanctuaire nous nous agenouillons.
Enfin : l’homme est placé où finit la terre ; la femme où commence le ciel ».
♥♥
conclusion non dite, de Victor Hugo :
L’homme et la femme ne sont pas égaux, ils sont
complémentaires- Il ne parle ici que des personnalités-
Il n’est pas question, ici, des droits légaux qui sont
bien sûrs égaux pour la femme comme pour l’homme,
en vertu des droits de l’homme
.
Je pense , franchement , que Victor Hugo était convaincu de la
domination de l’homme sur la femme, bien qu’il reconnaisse que cette
dernière ait de sérieux atouts pour l’en empêcher. Cette façon de voir
me rappelle une chanson de Jean FERRAT en hommage à son chien
décédé : OURALOU ,
voici un passage de cette chanson :
.
« On voit souvent des souveraines
A la place des rois qui règnent
Rien qu’en posant leurs yeux dessus
Il faut se méfier du paraître
De nous deux qui était le maître
Nous ne l’avons jamais bien su »
.
Il explique dans ces vers, que ce n’est pas toujours le dominant qui domine
♥♥
Portrait de Victor Hugo par Nadar.
Nom de naissance | Victor Marie Hugo |
---|---|
Activités | écrivain romancier poète dramaturge pamphlétaire personnalité politique dessinateur Pair de France sénateur |
Naissance | 26 février 1802 Maison natale de Victor Hugo Besançon, ![]() |
Décès | 22 mai 1885 (à 83 ans) Paris, ![]() |
Langue d’écriture | français |
Mouvement | romantisme |
Genres | théâtre poésie roman pamphlet |
Distinctions | * Élu à l’Académie française
|
Œuvres principales
Signature