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Le Maire de ma commune m’a incitée à me rendre aux urnes -je lui réponds

 

Sent: Thursday, March 27, 2014 3:12 PM
To: au maire de NOISY-LE-SEC
Subject: LA DEMOCRATIE A ETE BAFOUEE : LE PEUPLE FRANCAIS AVAIT REFUSE LA COMMUNAUTE EUROPEENNE – ON NOUS L’A QUAND MËME IMPOSEE – A QUOI DONC SERT UN VOTE ????????????????????????
Après avoir lu cette lettre, vous comprendrez Monsieur le Maire que la politique me dégoûte. Dans l’idéal, j’aimerais boycotter la politique avec mes concitoyens afin que les politiciens se retrouvent au chômage à leur tour ; mais hélas même si cela se faisait toute cette “nomenclatura” vivrait encore sur le dos des plus démunis.
NICOLE OLIVER

 

→NOISY-LE-SEC, le 27 mars 2014

Monsieur le Maire,

J’accuse réception de votre lettre m’incitant à me rendre aux urnes Dimanche prochain.

Comme vous le dites dans votre lettre, l’élection municipale n’est pas une élection comme les autres : quand on vote pour un maire, c’est un acte de confiance envers la personne, plutôt qu’envers le parti qu’elle représente., et je dois dire qu’en ce qui vous concerne je n’ai rien à vous reprocher personnellement.

Cependant, le climat politique dans son ensemble, est devenu une mafia à laquelle je ne veux pas participer, je ne me sens en confiance avec aucune formation, et je suis très triste de voir la FRANCE sombrer de jour en jour dans le  chômage, la perte des valeurs que nous avions connues autrefois : le respect de chacun la  conscience professionnelle, la défense de notre langue, la culture dans son ensemble, le respect des lois, par les gouvernants et les gouvernés, chose qui n’existe plus à l’heure actuelle où tout le monde triche, fraude, vole sans en être inquiété.

La dernière fois que j’ai voté c’était pour refuser la communauté européenne qui nous a finalement été imposée  !! (bien que nous soyons dans un pays dit démocratique)
A quoi sert donc cette EUROPE sinon à rendre les populations de tous les pays plus miséreuse pour que le grand Capital fructifie davantage.
Quelle honte de constater qu’un travailleur n’arrive pas à boucler le mois avec le minable salaire qu’on lui attribue, et qui le jette dans la désespérance.

Dans notre pays, nous ne savons plus enseigner, nos enfants  sortent de l’école sans savoir  ni lire ni écrire.

Je viens de passer  trois semaines à l’HOPITAL  où je n’ai fait que constater les insuffisances du personnel médical.

Je sais bien Monsieur le MAIRE que tout ceci ne vous  concerne pas personnellement, et ne concerne pas NOISY-LE-SEC particulièrement, mais qui donc est en mesure de remettre les pendules à l’heure sinon ceux qui s’occupent de politique ou du moins qui devraient s’en occuper, car rien n’est fait pour redresser la barre, et élever le débat.

Ce qui manque à notre Pays, ce sont des politiciens responsables capables de gouverner la France avec le désir de la voir progresser, afin qu’elle occupe à nouveau une place de choix dans le paysage mondial , mais ceux qui sont au pouvoir, à présent n’ont qu’une ambition : la leur ….. Pas celle de notre Pays.

Pour finir, je suis convaincue que vous serez le grand gagnant de cette élection, du moins je l’espère.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.

NICOLE OLIVER
 

savoirs – AVERSES D’informations = DESINFORMATION totale – Confusion dans tous les domaines

CET ARTICLE CONCERNE LA BELGIQUE, MAIS JE SUIS SURE QUE NOUS AVONS LES MEMES PROBLEMES EN FRANCE .

Pour un journalisme d’éducation permanente

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Saviez-vous qu’Hugo Chavez était un chanteur de rock, Mohamed ElBaradei, un terroriste trop longtemps emprisonné à Guantanamo, et Jean-Michel Javaux, le ministre belge des Affaires étrangères ?Telles sont quelques-unes des perles que m’ont offertes, au début de l’année scolaire, sur les plateaux de leurs copies, des étudiants à qui je donnais cours de Relations internationales.Et ce n’est pas tout : 56 % ignoraient à quel pays renvoyait le terme « Hexagone », 37% ne connaissaient pas la capitale de l’Afghanistan, et plus grave encore, 21 % d’entre eux ne savaient pas ce qu’était l’Holocauste ou la Shoah ! Si, si, vous avez bien lu ! Pourtant, les auteurs de ces (non) réponses ont tous en poche un diplôme de l’enseignement secondaire !Voilà qui m’avait fortement interpellée ! Au cours du premier trimestre, j’ai dès lors mis toute mon énergie à essayer de faire progresser leurs connaissances. D’autant que ces étudiants sont majoritairement sympas, participatifs, qu’ils posent sans arrêt des questions et semblent réellement désireux d’apprendre et de comprendre les grands enjeux de notre époque. Pas du tout le profil d’élèves qui n’en auraient « rien à cirer » de ce qu’on leur raconte. Non. Une classe à qui il est réellement agréable de donner cours.Apparemment, nos efforts communs ont porté leurs fruits : je termine en ce moment la correction des copies d’examens et les résultats sont globalement bons à très bons. Afin de disposer d’« indicateurs de progrès objectivement mesurables », j’ai posé un certain nombre de questions identiques en début d’année scolaire et lors de l’examen final de janvier. Et dans ce dernier, ils sont 100% à savoir ce que veulent dire les termes « Holocauste » et « Shoah » ; 100% aussi à savoir qui est Hugo Chavez (contre 41 % en septembre), ou ce que signifie le sigle ONU (contre 84 % lors du premier test). Seul le score concernant Yves Leterme est un peu moins brillant, puisque 10 % des étudiants ignorent toujours qu’il est le Premier ministre de notre royaume.Bref, je suis un professeur HEUREUX de cette belle progression !Mais ce bonheur n’enlève rien à la gravité de la situation. Le test réalisé en septembre montre qu’une fraction importante des élèves qui sortent d’humanités n’a pas les connaissances requises pour comprendre un simple journal télévisé, ni pour jouer correctement son rôle de citoyen.Alors que faire ? S’il semble difficile d’éluder une réflexion approfondie sur la qualité de notre enseignement primaire et secondaire, il est tout aussi urgent de repenser la pratique du journalisme, en essayant de promouvoir un journalisme d’éducation permanente.Ce concept, sur lequel je travaille depuis des années et que j’ai essayé de mettre à l’honneur au sein de la revue Enjeux internationaux, consiste à donner aux lecteurs des clés pour mieux comprendre la marche du monde et les grandes questions de notre temps.Le journalisme d’éducation permanente veille à présenter clairement les différents acteurs d’un événement, à replacer ce dernier dans son contexte, à la fois historique et culturel, économique et politique, et à expliquer les termes qui pourraient ne pas être compris.« Madame, c’est quoi un minaret ? », m’a demandé discrètement un étudiant, lors de la pause entre deux cours, alors que nous venions de débattre durant plus d’une heure des résultats de la récente votation suisse sur ce sujet.
Pendant une fraction de seconde, je me suis demandé s’il se moquait de moi, mais non ! Mea culpa : j’avoue que si je n’ai pas expliqué ce terme au cours, c’est parce que jamais je n’aurais imaginé qu’un jeune de son âge et de son niveau d’instruction puisse en ignorer la signification.Ma récente double casquette de professeur et de journaliste s’avère décidément bien utile pour mieux appréhender la réalité des savoirs ! Elle renforce aussi ma conviction qu’un journalisme qui aurait à cœur d’expliquer sans simplisme ce qu’est l’Holocauste, un minaret, un génocide, ou quelle est la différence entre musulman et islamiste, contribuerait à lutter contre une dualisation et une désaffection médiatiques de plus en plus palpables.Clairement à contre-courant d’une tendance médiatique dominante, qui braque les projecteurs sur la violence, célèbre le people et la frivolité, opte quasi systématiquement pour la mise en scène et la surenchère, le journalisme d’éducation permanente se veut au contraire de qualité sans être élitiste.C’est donc une philosophie du métier, un état d’esprit, une démarche politique qui favorise et renforce la démocratie, en fournissant aux citoyens les informations et explications nécessaires pour remplir adéquatement leur rôle et participer pleinement à la vie de la cité.

LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE

 

LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE dans ECONOMIE EarthSun

MONDIALISATION

LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE

1 – Le pouvoir a déjà changé de mainsvide dans ordre mondial2 – L’illusion démocratiquevide dans politique3 – La disparition de l’informationvide4 – Stratégies et objectifs pour le contrôle du mondevide5 – Les attributs du pouvoirvide6 – La vraie réalité de l’argentvide7 – Le point de non-retour écologiquevide8 – La destruction de la naturevide9 – Les alternatives de la dernière chancevide10 – 2000 ans d’Histoire

 

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1
Le pouvoir a déjà changé de mains

Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d’institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Or ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l’impact de leurs décisions sur la vie des populations.

Le pouvoir de ces organisations s’exerce sur une dimension planétaire, alors que le pouvoir des états est limité à une dimension nationale.

Par ailleurs, le poids des sociétés multinationales dans les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des états.

A dimension transnationale, plus riches que les états, mais aussi principales sources de financement des partis politiques de toutes tendances et dans la plupart des pays, ces organisations sont de fait au dessus des lois et du pouvoir politique, au dessus de la démocratie.

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Voici une liste des chiffres d’affaires de certaines multinationales, comparés avec le PIB des états. Elle en dit long sur la puissance planétaire que ces sociétés sont en train d’acquérir.

Une puissance toujours plus démesurée, du fait de l’accélération des fusions entre multinationales.

Chiffres d’affaires ou PIB, en milliards de dollars

General Motors

178,2

Singapour

96,3

Danemark

161,1

Toyota

95,2

Thaïlande

157,3

Israel

92

Ford

153,5

General Electric

90,8

Norvège

153,4

Philippines

83,1

Mitsui & Co

142,8

IBM

78,5

Pologne

135,7

NTT

77

Afrique du Sud

129,1

Axa – UAP

76,9

Mitsubishi

129

Egypte

75,2

Royal Dutch Shell

128,1

Chili

74,3

Itoshu

126,7

Irlande

72

Arabie Saoudite

125,3

Daimler-Benz

71,5

Exxon (Esso)

122,4

British Petroleum

71,2

Wall Mart

119,3

Venezuela

67,3

Ford

100,1

Groupe Volkswagen

65,3

Grèce

119,1

Nouvelle Zélande

65

Finlande

116,2

Unilever

43,7

Marubeni

11,2

Pakistan

41,9

Sumimoto

109,3

Nestle

38,4

Malaisie

97,5

Sony

34,4

Portugal

97,4

Nigeria

29,6

Ensemble des 5 plus grandes firmes

526,1

Proche-Orient et Afrique du Nord

454,5

Asie du Sud

297,4

Afrique Sub-Saharienne

269,9

Chiffres 1999, sauf les chiffres en italique qui datent de 1992
Sources: Banque Mondiale (World Development Repport 1998-1999), Forbes, The Nation, Institut de recherche des Nations Unies pour le développement social (States of Disarray, Genève, 1995),
Courrier International, Le Monde Diplomatique

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2
L’illusion démocratique

La démocratie a déjà cessé d’être une réalité.

Les responsables des organisations qui exerçent le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n’est pas informé de leurs décisions.

La marge d’action des états est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n’ont été ni consultés, ni informés.

Tous ces traités élaborés ces cinq dernières années (GATT, OMC, AMI, NTM, NAFTA) visent un but unique: le transfert du pouvoir des états vers des organisations non-élues, au moyen d’un processus appelé « mondialisation ».

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Une suspension proclamée de la démocratie n’aurait pas manqué de provoquer une révolution. C’est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de façade, et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres.

Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n’ont plus de pouvoir réel.

Et c’est bien parce qu’il n’y a plus rien à décider que les programmes politiques de « droite » et de « gauche » en sont venus à tant se ressembler dans tous les pays occidentaux.

Pour résumer, nous n’avons pas le choix du plat mais nous avons le choix de la sauce. Le plat s’appelle « nouvel esclavage », avec sauce de droite pimentée ou sauce de gauche aigre-douce.

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3
La disparition de l’information

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Depuis le début des années 90, l’information a progressivement disparu des médias destinés au grand-public.

Comme les élections, les journaux télévisés continuent d’exister, mais ils ont été vidés de leur contenu.

Un journal télévisé contient au maximum 2 à 3 minutes d’information véritable. Le reste est constitué de sujets « magazine », de reportages anecdotiques, de faits divers, de micro-trottoirs et de reality-shows sur la vie quotidienne.

Les analyses par des journalistes spécialisés, ainsi que les émissions d’information ont été presque totalement éliminés.

L’information se réduit désormais à la presse écrite, lue par une minorité de personnes.

La disparition de l’information est le signe tangible que notre régime politique a déjà changé de nature.

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4
Stratégies et objectifs pour le contrôle du monde

Les responsables du pouvoir économique sont quasiment tous issus du même monde, des mêmes milieux sociaux. Il se connaissent, se rencontrent, partagent les mêmes vues et les mêmes intérêts.

Ils partagent donc tout naturellement la même vision de ce que devrait être le monde idéal futur.

Il est dès lors naturel qu’ils s’accordent sur une stratégie et synchronisent leurs actions respectives vers des objectifs communs, en induisant des situations économiques favorables à la réalisation de leurs objectifs, à savoir:

BlueBall Affaiblissement des états et du pouvoir politique. Déréglementation. Privatisation des services publics.

BlueBall Désengagement total des états de l’économie, y compris des secteurs de l’éducation, de la recherche, et à terme de la police et de l’armée, destinés à devenir des secteurs exploitables par des entreprises privées.

BlueBall Endettement des états au moyen de la corruption, des travaux publics inutiles, des subventions données aux entreprises sans contrepartie, ou des dépenses militaires. Lorsqu’une montagne de dettes a été accumulée, les gouvernements sont contraints aux privatisations et au démantèlement des services publics. Plus un gouvernement est sous le contrôle des « Maîtres du Monde », et plus il fait augmenter la dette de son pays.

BlueBall Précarisation des emplois et maintien d’un niveau de chômage élevé, entretenu grâce aux délocalisations et à la mondialisation du marché du travail. Ceci accroît la pression économique sur les salariés, qui sont alors prêts à accepter n’importe quel salaire ou conditions de travail.

BlueBall Réduction des aides sociales, pour accroître la motivation du chômeur à accepter n’importe quel travail à n’importe quel salaire. Des aides sociales trop élevées empêchent le chômage de faire pression efficacement sur le marché du travail.

BlueBall Empêcher la montée des revendications salariales dans le Tiers-Monde, en y maintenant des régimes totalitaires ou corrompus. Si les travailleurs du Tiers Monde étaient mieux rémunérés, cela briserait le principe même des délocalisations et du levier qu’elles exercent sur le marché du travail et la société en occident. Ceci est donc un verrou stratégique essentiel qui doit être préservé à tout prix. La fameuse « crise asiatique » de 1998 a été déclenchée dans le but de préserver ce verrou.

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5
Les attributs du pouvoir

Les organisations multinationales privées se dotent progressivement de tous les attributs de la puissance des états: réseaux de communication, satellites (2), services de renseignements, fichiers sur les individus (3), institutions judiciaires (établies par l’OMC et l’AMI, accord grâce auquel une multinationale pourra traîner un état devant une cours de justice internationale spéciale).

USAircraftL’étape suivante -et ultime- pour ces organisations sera d’obtenir la part de pouvoir militaire et policier qui correspond à leur nouvelle puissance, en créant leurs propres forces armées, car les armées et polices nationales ne sont pas adaptées à la défense de leurs intérêts dans le monde.

A terme, les armées sont appelées à devenir des entreprises privées, des prestataires de services travaillant sous contrat avec les états, aussi bien qu’avec n’importe quel client privé capable de payer leurs services. Mais à l’étape ultime du plan, ces armées privées serviront les intérêts des grandes multinationales, et attaqueront les états qui ne se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique.

En attendant, ce rôle est assumé par l’armée des Etats-Unis, le pays le mieux contrôlé par les multinationales.

Notes:

SunMark1 1 – Armées privées
Les armées privées existent déjà au Etats-Unis. Il s’agit des sociétés
DynCorp, CACI, et MPRI, prototypes des futures armées privées. Dyncorp est intervenu dans de nombreuses régions où les États-Unis souhaitaient intervenir militairement sans en porter la responsabilité directe (en Amérique du Sud, au Soudan, au Koweït, en Indonésie, au Kosovo, en Irak…). Fin 2002, Dyncorp a été rachetée par Computer Sciences Corporation, l’une des plus importantes sociétés américaines de services informatiques. En Mai 2004, Dyncorp et MPRI ont été impliquées dans les tortures sur les prisonniers irakiens. Les armées privées (appelées « sous-traitants » par le Pentagone) représentent 10% des effectifs américains envoyés en Irak.

SunMark1 2 – Satellites
Microsoft a finalement renoncé à son projet
Teledesic, un réseau de 288 satellites de communication qui devaient constituer un maillage tout autour de la planète. Mais d’autres compagnies multinationales s’apprêtent à créer des réseaux de satellites de communication similaires. Des satellites d’observation privés sont également déjà en place. Deux sociétés commercialisent des images à haute résolution de tout lieu de la planète susceptible d’intéresser les acheteurs.

SunMark1 3 – Fichiers privés
De nombreuses sociétés fondées ces dernières années (principalement aux Etats-Unis) sont spécialisées dans la collecte d’informations individuelles, officiellement à des fins commerciales. Mais ces fichiers privés commencent à rassembler des millions de profils individuels très précis de consommateurs répartis dans l’ensemble des pays occidentaux. Les informations de ces fichiers sont vendues à quiconque souhaite les acheter.

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6
La vraie réalité de l’argent

L’argent est aujourd’hui essentiellement virtuel. Il a pour réalité une suite de 0 et de 1 dans les ordinateurs des banques. La majeure partie du commerce mondial a lieu sans monnaie-papier, et seulement 10% des transactions financières quotidiennes correspondent à des échanges économiques dans le « monde réel ».

Les marchés financiers eux-mêmes constituent un système de création d’argent virtuel, de profit non-basé sur une création de richesses réelles. Grâce au jeu des marchés financiers (qui permet de transformer en bénéfices les oscillations des cours), les investisseurs avisés peuvent être déclarés plus riches, par une simple circulation d’électrons dans des ordinateurs. Cette création d’argent sans création de richesses économiques correspondantes est la définition même de la création artificielle de monnaie. Ce que la loi interdit aux faux-monnayeurs, et ce que l’orthodoxie économique libérale interdit aux états, est donc possible et légal pour un nombre restreint de bénéficiaires.

Si l’on veut comprendre ce qu’est réellement l’argent et ce à quoi il sert, il suffit d’inverser le vieil adage « le temps c’est de l’argent ».

L’argent, c’est du temps.

L’argent est ce qui permet d’acheter le temps des autres, le temps qui a été nécéssaire à produire les produits ou les services que l’on consomme.

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videConeIndigoL’argent, le temps, et les esclaves

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Techniquement, l’argent est une unité de calcul intermédiaire pour échanger du temps contre du temps, sans que le temps des uns et des autres puisse être comparé directement. Car chaque conversion entre l’argent et le temps se fait sur la base d’une estimation subjective, qui varie selon le rapport de force économique et informationnel entre l’acheteur et le vendeur.

Dans la pratique, ce rapport de force est toujours défavorable au consommateur-salarié.

Lorsqu’un individu moyen achète un produit, il paye le temps qui a été nécéssaire pour fabriquer ce produit à un prix bien plus élevé que le salaire qui lui est payé pour une fraction équivalente de son propre temps.

Par exemple, chez les grands constructeurs automobiles, une voiture est produite en une journée de travail (soit en 8 heures) par 20 salariés (y compris le travail des commerciaux et le travail inclus dans les fournitures et les équipements de production utilisés). Le salaire journalier de chaque salarié devrait donc être égal à 1/20è du prix de la voiture, soit 1000 euros si la voiture vaut 20.000 euros. Ce qui fait un salaire mensuel théorique de 22.000 euros (sur la base de 22 jours travaillés par mois). Pour la plupart des salariés, on est très loin du compte.

Lorsqu’un salarié occidental donne 10 heures de son temps, il reçoit seulement l’équivalent d’une heure. Pour un salarié du Tiers Monde, le rapport tombe à 1000 heures contre une.

Ce système est la version moderne de l’esclavage.

Les bénéficiaires du temps volé aux salariés sont les entreprises et leurs dirigeants (dont le salaire est plus de 100 fois celui d’un employé ordinaire), mais aussi les états dès lors que l’argent prélevé par les impots et les taxes n’est pas utilisé dans le sens de l’intérêt général.

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7
Le point de non-retour écologique va être franchi

 Pollution

OzoneIl est évident que nous commençons à nous heurter aux limites écologiques de l’activité économique.

Un système économique libéral, dont le but est la recherche du profit à court-terme pour des intérêts particuliers, ne peut prendre en compte les coûts à long-terme tels que la dégradation de l’environnement.

Les modèles économiques actuels sont également inaptes à estimer à sa juste valeur la « production » de la nature, indispensable à notre survie: production d’oxygène, fixation du gaz carbonique par les forêts et les océans, régulation de la température, protection contre les rayonnements solaires, recyclage chimique, répartition des pluies, production d’eau potable, production d’aliments, etc.

Si nos modèles économiques intégraient le coût réel de la destruction de la nature, de la pollution, des modifications climatiques, cela changerait radicalement notre estimation de ce qui est « rentable » et de ce qui ne l’est pas.

SunMark1 La production de la nature a été évaluée à 55.000 milliards de dollars par an par un groupe de scientifiques de l’Institute for Ecological Economics de l’Université du Maryland en 1997.

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8
La destruction de la nature est voulue

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La disparition de la nature est inévitable, car elle est voulue par le nouveau pouvoir économique. Pourquoi?

Pour 3 raisons:

1- La disparition de la nature et l’augmentation de la pollution vont rendre les individus encore plus dépendants du système économique pour leur survie, et vont permettre de générer de nouveaux profits (avec notamment une consommation accrue de médicaments et de prestations médicales…).

2- Par ailleurs, la nature constitue une référence d’un autre ordre, celui de l’univers. La contemplation de la beauté et de la perfection de cet ordre est subversive: elle amène l’individu à rejeter la laideur des environnements urbanisés, et à douter de l’ordre social qui doit demeurer la seule référence.
L’urbanisation de l’environnement permet de placer les populations dans un espace totalement controlé, surveillé, et où l’individu est totalement immergé dans une projection de l’ordre social.

3 – Enfin, la contemplation de la nature incite au rêve et intensifie la vie intérieure des individus, développant leur sensibilité propre, et donc leur libre-arbitre.
Ils cessent dès lors d’être fascinés par les marchandises, ils se détournent des programmes télévisés destinés à les abrutir et à contrôler leur esprit. Délivrés de leurs chaînes, ils commencent à imaginer une autre société possible, fondée sur d’autres valeurs que le profit et l’argent.

Tout ce qui peut amener les individus à penser et à vivre par eux-mêmes est potentiellement subversif. Le plus grand danger pour l’ordre social est la spiritualité car elle amène l’individu à bouleverser son système de valeurs et donc son comportement, au détriment des valeurs et comportements précédemment implantés par le conditionnement social.

Pour la stabilité du « nouvel ordre social », tout ce qui peut stimuler l’éveil spirituel doit être éliminé.

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9
Les alternatives de la dernière chance

Pour ne pas être définitivement exclus du jeu, les contre-pouvoirs au pouvoir économique (syndicats, associations de consommateurs, mouvements écologistes) doivent répondre en se plaçant sur le même niveau d’organisation, au niveau mondial et non plus national, en unifiant et en synchronisant leurs actions, à l’échelle de groupes d’états pesant un poids suffisant dans les flux économiques mondiaux.

Il leur reste peu de temps pour réagir, car tous les moyens de contrôle nécessaires à une future dictature mondiale sont désormais en place.

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2000 ans d’histoire

Durant ces deux derniers millénaires, la civilisation sera passée par quatre ères successives marquant quatre formes de pouvoir politique:

1 – L’ère des tribus

Pouvoir exercé selon la force (et plus rarement selon la sagesse ou la connaissance).
Comme chez les groupes d’animaux, le pouvoir revient au « mâle dominant ».

2 – L’ère des empires et des royaumes

Pouvoir héréditaire. Naissance de la notion d’état.

3 – L’ère des états-nations

Ere ouverte par la monarchie parlementaire en Grande-Bretagne en 1689, par la révolution française en 1789, et par la fondation des Etats-Unis.

Dans un état-nation, le pouvoir n’est plus héréditaire mais exercé par des dirigeants censés représenter le peuple, et désignés par des élections (état-nation démocratique), ou par un système de cooptation au sein d’un parti unique (état-nation totalitaire).

4 – L’ère des conglomérats économiques

Ere initiée à partir de 1954, mise en place au cours des années 70 et 80, et pleinement opérationnelle à partir des années 90.

Le pouvoir n’y est plus de type représentatif ou électif, et il n’est plus localisé géographiquement (contrairement aux tribus, aux royaumes, et aux états-nations).

Il est exercé directement par ceux qui contrôlent le système financier et la production des marchandises. Les instruments de ce pouvoir sont le contrôle de la technologie, de l’énergie, de la monnaie, et de l’information.

Comme tout nouveau pouvoir, il s’érige en remplacement du pouvoir précédent, voué à disparaître.

Enfin, ce nouveau pouvoir est global, planétaire. Il n’a donc ni alternative, ni échappatoire. Il constitue un nouveau niveau d’organisation de la civilisation, une sorte de super-organisme.

La résolution des grands problèmes écologiques économiques et sociaux nécessite effectivement l’avènement d’une forme de pouvoir global. De même, l’unification du monde par l’économie et le déclin des états-nations ont été décidés en partie pour une noble cause: rendre impossible une nouvelle guerre mondiale qui, à l’ère atomique, signifierait la fin de la civilisation.

Mais la question est de savoir au service de quels objectifs et de quels intérêts ce pouvoir global doit-il être, par qui doit-il être exercé, et par quels contre-pouvoirs doit-il être contrôlé et équilibré.

La mondialisation (ou « globalisation ») n’est pas négative en elle-même. Potentiellement, elle peut permettre l’établissement d’une paix mondiale durable et une meilleure gestion des ressources. Mais si elle continue d’être organisée au bénéfice d’une élite et si elle conserve son orientation néo-libérale actuelle, elle ne tardera pas à engendrer un nouveau type de totalitarisme, la marchandisation intégrale des êtres vivants, la destruction totale de la nature, et des formes inédites d’esclavage.

Sylvain Timsit
© Syti.Net 1998

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REFLEXIONS SUR LA NOTION DE POUVOIR

Quelques citations à méditer…

« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »

Franklin D. Roosevelt
Président des Etats Unis de 1932 à 1945

« Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité. »

Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)

  

« Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau. »

Benjamin Disraeli
Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880

 

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller
Président et fondateur du Groupe de Bilderberg et de la Commission Trilatérale. Président du CFR (, Council on Foreign Relations).
Propos tenus à la rénion du Groupe de Bilderberg à Baden Baden en 1991

 

« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. »

David Rockefeller
Interview dans Newseek en février 1999

 

« Aujourd’hui, l’Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l’ordre. Demain ils en seront reconnaissants! Ceci est particulièrement vrai s’il leur était dit qu’un danger extérieur, qu’il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C’est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L’unique chose que tous les hommes craignent est l’inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial. »

Henry Kissinger
Membre du Groupe de Bilderberg, de la Commission Trilatérale et du CFR

 

« Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement. »

Paul Warburg
Grand banqier, premier président du CFR en 1920. Plus d’infos sur ce site)

 

 

 

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

 

David Rockefeller

 

 

 

« Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d’une quelconque menace de l’extérieur, mais d’avantage à cause des forces incidieuses qui y opèrent de l’intérieur. »

 

Général Douglas MacArthur
Commandant suprême des forces alliées dans le Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale

 

 

 

« La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions. »

 

John Fitzgerald Kennedy
dans un discours fait à l’Université Columbia le 12 novembre 1963, dix jours avant son assassinat

 

 

 

« Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (…) Est-ce que j’entends par là qu’il s’agit d’une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. »

 

Lawrence Patton McDonald
Congressiste américain tué dans l’attaque d’un vol de la Korean Airlines. Message public diffusé en 1976

 

 

 

« Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique. »

 

Marshall McLuhan
Auteur et chercheur canadien (1911-1980)

 

 

 

« Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était. »

 

Winston Churchill
Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955

 

 

 

« L’ennemi numéro 1 de tout État est l’homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l’État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S’il ne l’est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l’État. »

 

Henry Louis Mencken
Journaliste, écrivain et libre penseur, l’un des écrivains américains les plus influents du 20e siècle (1880-1956)

 

 

 

« Après 1981, je demandais à François Mitterrand :

 

- Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ? Il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque Mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi qu’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J’ai vécu l’expérience directement durant quatorze ans. En France, on élit, et les élus font des lois qu’ils n’ont jamais proposées et dont nous n’avons jamais voulu. La France est-elle une démocratie ? Une puissance mondiale ? Je le dis en tant que Française: cela ne veut rien dire. »

 

Danièle Mitterrand
Epouse de François Mitterrand

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Qui sont les Maitres du Monde, et quelles organisations utilisent-ils pour contrôler le monde?…

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Quelques chiffres à méditer…


Selon un rapport du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD):

ConeIndigo Les 3 personnes les plus riches du monde sont aussi riches que les 48 pays les plus pauvres.

ConeIndigo Les avoirs des 84 personnes les plus riches dépasse le produit intérieur brut de la Chine avec ses 1,2 milliards d’habitants.

ConeIndigo Les 225 personnes les plus riches disposent d’une fortune équivalente au revenu annuel cumulé des 47% d’individus les plus pauvres de la planète, soit plus de 3 milliards de personnes.

ConeIndigo Selon le même organe des Nations-Unies, il suffirait de moins de 4% de la richesse cumulée de ces 225 plus grosses fortunes mondiales (évaluées à plus de 1000 milliards de dollars) pour donner à toute la population du globe l’accès aux besoins de base et aux services élémentaires: santé, éducation, alimentation.

Rapport ONU – PNUD 1998 – disponible chez Economica, 49, rue Héricart, 75015 Paris
 

Autres chiffres:

ConeIndigo 122 entreprises sont à l’origine de 80% de toutes les émissions de dioxyde de carbone

ConeIndigo Pour sa fabrication, un yacht de luxe nécéssite 200.000 heures de travail, soit 96 années de travail d’une personne (8 heures par jour, 5 jours sur 7). Ainsi, avec ce qu’il gagne en quelques jours, un milliardaire peut s’approprier la vie entière d’un autre être humain.

ConeIndigo Aux Etats-Unis, les 100 plus importants PDG gagnent chacun en moyenne 1000 fois plus que leurs salariés « ordinaires »

ConeIndigo La fortune personnelle de Bill Gates (50 milliards de dollars) est égale à la fortune cumulée des 106 millions d’Américains les plus pauvres…

ConeIndigo Le budget militaire américain de la seule année 2004 a été de 480 milliards de dollars, ce qui représente une dépense de 27.342 dollars par heure depuis la naissance du Christ.

ConeIndigo En 2002, George W. Bush a décidé une hausse des dépenses militaires de 40 milliards de dollars.
Cette seule augmentation du budget militaire américain représente exactement la somme qui serait nécéssaire pour résoudre définitivement le problème de la faim dans le monde. (selon les estimations de l’ONU)

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THEMES ASSOCIES

videDe l’info sans infos

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Quand l’information véritable est remplacée par les sujets anecdotiques, les micro-trottoirs, et les reportages insignifiants sur la vie quotidienne…

videStratégies de manipulation

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Les stratégies et les techniques des « Maitres du Monde » pour la manipulation de l’opinion publique et de la société.

videUne liberté sous surveillance électronique

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Fichiers informatiques, téléphones portables, internet, association de la carte de crédit et du code barre, réseau Echelon, caméras de surveillance, puces RFID, découvrez tous les moyens par lesquels notre liberté est devenue très surveillée…

vide« Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

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Ce document Top Secret se définit comme un « manuel de programmation » de la société. Il expose en détail les stratégies des « Maitres du Monde » et révèle des clés essentielles pour comprendre les véritables règles du jeu qui sous-tendent la transformation radicale et accélérée de la société et de l’économie mondiale.

 

videLes projets des Maitres du Monde

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Les projets des Maitres du Monde pour un contrôle global des individus et de la société: manipulations génétiques, contrôle des esprits, implants, traçabilité, nouvel ordre économique…

videL’A.M.I, ennemi de la démocratie

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Le traité de l’AMI est un accord économique mondial négocié dans le plus grand secret depuis 1995 sous l’égide l’OCDE, et dont les conséquences constituent une menace sans précédent pour la démocratie.
Des traités du même type, NAFTA et FTAA, ont déjà été acceptés par les pays du continent américain.

videLes mensonges du libéralisme

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Un démontage en règle des mensonges les plus fréquemment utilisés par la propagande néo-libérale et sa « pensée unique ».

videDélocalisations et mondialisation

icone_Delocalisations

La mondialisation libérale consiste en la suppression de toute entrave à la circulation des marchandises et des capitaux, rendant possible les délocalisations, les chantages à l’emploi, et les profits sans précédent des multinationales. Au risque de causer la désindustrialisation et le déclin géopolitique des pays occidentaux…

videLe Siècle, cercle de l’élite française

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« Le Siècle » est un club de reflexion qui rassemble les membres les plus puissants et influents de la classe dirigeante française: responsables politiques, présidents de grandes entreprises, et journalistes des médias qui « font l’opinion »…

videEurope: une Constitution piégée

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Les pièges d’une constitution anti-démocratique et anti-sociale, dont le but est de rendre irréversible l’orientation ultra-libérale de l’Europe.

videVers une criminalisation du citoyen ordinaire

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Nous assistons actuellement à une dérive inquiétante du Droit pénal. Plusieurs nouvelles lois visent un même but: condamner le citoyen ordinaire à la prison, même lorsqu’il n’a commis aucun crime…

videL’émergence du libéral-fascisme

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Avec les lois Perben et les nouvelles méthodes policières instituées par Nicolas Sarkozy, on assiste en France comme aux Etats-Unis à l’émergence d’une nouvelle tendance politique: le « libéral-fascisme »…

videRestaurer la démocratie

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Ces dernières années, la démocratie et les libertés n’ont cessé de se réduire dans les pays occidentaux, sous le double prétexte du terrorisme et de la délinquance. Il est désormais temps d’exiger la restauration de la démocratie.

vide10 bonnes raisons de faire à nouveau la Révolution

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Les causes de la révolution de 1789 sont à nouveau réunies: injustices criantes et accaparement du pouvoir par une caste de privilégiés.

videEtat de la planète

icone_EtatPlanete

Le point sur l’état de la planète, avec l’inventaire des dégats causés par l’homme à l’environnement, et les premiers signes des réactions de l’écosystème.

videLe temps de l’action

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Le futur du monde appartient aux citoyens. Les directions prises par la société, l’économie, l’environnement ne sont pas inéluctables. Sans le savoir, les citoyens disposent de puissants moyens d’action…

videBibliographie contre la « pensée unique »

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Quelques livres sur la mondialisation, la démocratie, les nouveaux pouvoirs planétaires…

videBrèves nouvelles du Monde

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L’actualité au sujet du nouvel ordre économique, de la démocratie, et des stratégies de contrôle de la société.

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HOLLANDE A L’ENDROIT ET A L’ENVERS

HOLLANDE  A  L'ENDROIT  ET  A  L'ENVERS dans HUMOUR hollandeendroitenvers-618x1024

 

 

Lire, maintenant de bas en haut, en commençant par la dernière ligne et

en remontant jusqu’au début…..c’est surprenant

 

 

 

 dans politique

 

 

 

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VICTOR HUGO

VICTOR HUGO dans art images-victor-hugo1

L’homme et la femme

par Victor Hugo

 

Victor Hugo, le grand humaniste initié, écrivait, au sujet de l’homme et de la femme :

 

« L’homme est la plus élevée des créatures ; la femme est le plus sublime des idéaux.

Dieu a fait pour l’homme un trône ; pour la femme un autel. Le trône exalte ; l’autel sanctifie.

L’homme est le cerveau, la femme le coeur. Le cerveau fabrique la lumière ; le coeur produit l’Amour. La lumière féconde ; l’Amour ressuscite.

L’homme est fort par la raison ; la femme est invincible par les larmes. La raison convainc ; les larmes émeuvent.

L’homme est capable de tous les héroïsmes ; la femme de tous les martyres.

L’héroïsme ennoblit ; le martyre sublime.

L’homme a la suprématie ; la femme la préférence. La suprématie signifie la force ; la préférence représente le droit.

L’homme est un génie, la femme un ange. Le génie est incommensurable ; l’ange indéfinissable.

L’aspiration de l’homme, c’est la suprême gloire ; l’aspiration de la femme, c’est l’extrême vertu. La gloire fait tout ce qui est grand ; la vertu fait tout ce qui est divin.

L’homme est un Code ; la femme un Evangile. Le Code corrige ; l’Evangile parfait.

L’homme pense ; la femme songe. Penser, c’est avoir dans le crâne une larve ; songer, c’est avoir sur le front une auréole.

L’homme est un océan ; la femme est un lac. L’Océan a la perle qui orne ; le lac, la poésie qui éclaire.

L’homme est un aigle qui vole ; la femme est le rossignol qui chante. Voler, c’est dominer l’espace ; chanter, c’est conquérir l’Ame.

L’homme est un Temple ; la femme est le Sanctuaire. Devant le Temple nous nous découvrons ; devant le Sanctuaire nous nous agenouillons.

Enfin : l’homme est placé où finit la terre ; la femme où commence le ciel ».

 

 

images-victor-hugo-vieux dans LITTERATURE

 

 

♥♥

conclusion  non dite, de Victor Hugo :

L’homme et la femme ne sont pas égaux, ils sont

complémentaires- Il ne parle ici que des personnalités-

Il n’est pas question, ici,   des droits légaux qui sont

bien sûrs égaux pour la femme comme pour l’homme,

en vertu des droits de l’homme

.

 

Je pense , franchement , que Victor Hugo était convaincu de la

domination de l’homme sur la femme, bien qu’il reconnaisse que cette

dernière ait de sérieux atouts pour l’en empêcher. Cette façon de voir

me rappelle une chanson de Jean FERRAT en hommage à son chien

décédé : OURALOU ,

voici un passage de cette chanson :

.

« On voit souvent des souveraines
A la place des rois qui règnent
Rien qu’en posant leurs yeux dessus
Il faut se méfier du paraître
De nous deux qui était le maître
Nous ne l’avons jamais bien su  »

.

Il explique dans ces vers, que ce n’est pas toujours le dominant qui domine

♥♥

 

 

Description de cette image, également commentée ci-après

Portrait de Victor Hugo par Nadar.

Nom de naissance Victor Marie Hugo
Activités écrivain
romancier
poète
dramaturge
pamphlétaire
personnalité politique
dessinateur
Pair de France
sénateur
Naissance 26 février 1802
Maison natale de Victor Hugo Besançon, Drapeau de la France France
Décès 22 mai 1885 (à 83 ans)
Paris, Drapeau de la France France
Langue d’écriture français
Mouvement romantisme
Genres théâtre
poésie
roman
pamphlet
Distinctions * Élu à l’Académie française

Œuvres principales

Signature

Signature de Victor Hugo

 

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